30 septembre 2008
Paradoxe de l'éboulis
Au matin un troupeau de nuages gris et gras, grondent en colonisant le ciel. Dans le jardin, la lumière pâle uniformise les tons de vert.Nous sommes le 2 août, c'est la fin de l'été. Nous avons laissé passer le mois de juillet, Pierre s'adonnant à la...