8 janvier 2008
Les fourmis d'Agris
André est sur les starting-blocs, avec régularité il achève d'acheminer les déblais du fond. Derrière lui, Jean-Michel les disperse de la façon la moins encombrante possible. Malgrès tout, s'édifie un tumulus contemporain inévitable, quoique tout à fait de bon goût en ces lieux.
Au fond, les boyaux comme des clins d'oeil se multiplient sans pour autant, qu'aucun d'eux ne s'affirme plus que son voisin.
A la fin comme au départ des travaux, cette pluralité installe une sympatique convivialité, ou les conversations diffèrent et s'égrainent au fur et à mesure du sillon.
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